IDENTIFICTION: les jeux vidéos en « séries »
Au-delà de ces jeux plutôt destinés aux hardcores gamers, nous avons vu le marché du casual gaming exploser ces dernières années. Plus féminin, touchant une cible plus large (et plus âgée également). Les casual games ont pour eux la simplicité…accessibles directement sur le web, nul besoin d’un Intel Core i7 avec 8Go de ram et une carte graphique overclockée. La variété est bien sûr au rendez vous, un tour sur miniclip.com, portail phare en la matière, vous en convaincra. En revanche les graphismes restent basiques : puzzle, jeux de sports basiques, shoot ‘em up….L’immersion est relative même si certains sont très addictifs. (Yeti?)
Néanmoins, grâce à l’évolution progressive du plug in flash , doté désormais d’un moteur 3D qui commence à tenir la route, le jeu en flash accède à de nouveaux Horizons (l’excellent advergame.fr ne me contredira pas je pense 🙂 )
AO Sphere, fait partie de ces jeux. Edité par le studio lyonnais Widescreen games sour la marque Identifiction, ce jeu sera en effet accessible via le web, sans installation, et sa principale particularité est de fonctionner par épisode. L’univers du jeu vidéo aimerait reproduire le succès des séries TV comme 24, Prison break ou Battlestar Galactic en rendant le spectateur…ou joueur en l’occurrence, complètement accro à un univers, des personnages, une histoire.
Les épisodes (12 pour la saison 1) seront achetables à l’unité pour une durée de 25 à 45 minutes, le jeu s’adressant typiquement aux internautes qui ne veulent pas passer des dizaines d’heures sur leur ordinateurs mais qui sont attirés par le côté immersif des jeux vidéos.
Le concept, sur le papier, me parait excellent. Je vous en dirais plus lorsque je pourrai tester la beta.
La série « Aosphere » (Science fiction/aventure) sera disponible dès l’ouverture de la plateforme Identifiction. La chaîne enrichira son catalogue de 2 séries inédites supplémentaires. Les séries seront diffusées en français, anglais, allemand, espagnol et sous-titrées dans de nombreuses langues européennes.
Chaque série repose sur un système novateur où les joueurs incarnent successivement des personnages virtuels, respectent leurs profondeurs psychologiques tout en faisant des choix irréversibles. « Contrairement aux jeux traditionnels, il ne s’agira pas de récompenser la performance mais l’aptitude à incarner un personnage de fiction. » termine Olivier Masclef du studio lyonnais.
En effet je ne te contredis pas du tout :D.
Très bon article à bientôt,